Philo : un texte de Lucrèce sur la véritable piété
(plusieurs siècles avant Spinoza)
Français, Lettres, Philo : le blog d’un professeur indépendant
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Articles récents
Le poème le plus hermétique de la langue française ?
28 janvier 2025
De Stéphane Mallarmé…
Un exercice de gymnastique avec les participes passés
14 janvier 2025
Pour bien commencer l’année, voici des phrases où il faut accorder le participe passé en identifiant la règle en jeu. Voir l’exemple en vert. Règle 1 : Le participe passé employé seul (sans auxiliaire) Règle 2 : Le participe passé employé avec ÊTRE Règle 3 : Le participe passé avec AVOIR Règle 4 : Les participes passés employés seuls […]
Philo : les sujets nationaux tombés entre 1999 et 2016
24 décembre 2024
Chaque année, deux sujets de dissertation et une explication de texte, au choix bien sûr ! (Les séries technologiques ont des questions sur le texte.)
C’est mon cadeau de Noël. Enjoy !…
Littérature : connaissez-vous les vers holorimes ?
10 décembre 2024
Il s’agit de vers totalement homophones, qui riment intégralement. De la rime ultra-riche, pour le dire plus trivialement.
En voici quelques uns, par ordre croissant de performance…
Conjugaison : les 50 verbes irréguliers à connaître
26 novembre 2024
Il s’agit des principaux verbes modèles du troisième groupe, et l’ensemble des verbes irréguliers se calquent sur eux.
Classés par ordre de difficulté.
Philosophie de l’Histoire : « rien de nouveau sous le soleil »
12 novembre 2024
« La vraie philosophie de l’Histoire revient à voir que sous tous ces changements infinis, et au milieu de tout ce chaos, on n’a jamais devant soi que le même être, identique et immuable, occupé aujourd’hui des mêmes intrigues qu’hier et que de tout temps… »
Schopenhauer
Le plus beau texte de Voltaire ?
22 octobre 2024
Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse; c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui as tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature…